• Chapitre 1 : Un visage familier... 

     

    Première partie

     

     

    Couplage : Seungchit

     

    Localisation : Maison Lee,  quartier résidentiel à Los Angeles 

     

    Mars 2021,

     

    Ce fut une matinée tranquille pour un couple pas tous a faits assortis au premier abord si l'on remarquait la distinction entre ces deux personnalités opposées,  il faut creuser profondément pour saisir la subtilité de la  relation… Cet assortiment a surpris leur ami pendant le lycée à l’Institut Hibana à Tokyo,  un établissement réunissant les porteurs normaux nommés « bêta » ainsi que les deux autres « alpha »,  le leader par excellence et l' « oméga »,  le nourricier qu'on reconnaît par rapport à sa fertilité.  Oui, l'union bêta et oméga devinrent un modèle répandu sans marque de liaison car selon la biologie,  ils ne peuvent être truemate mais,  soulmate. Pitchit a appris qu'en grandissant à la maison de sa mère que le système de classe sociale ne doit nullement influencer ses choix futurs, ni la personne avec qui il devrait être sous le prétexte de la compatibilité biologique. Nés oméga, les Chulanont ne portèrent aucun revirement de considération à son égard, ni le proche entourage du jeune homme de vingt cinq ans. À vrai dire, le gène alpha et oméga se manifeste de façon aléatoire parmi la population majoritairement bêta.

     

    Le Thaïlandais et le sud-coréen font partie du pourcentage de soulmate qui s'est trouvés et rapprochés par l’initiative de l’oméga envers l'homme peu bavard au visage stoïque. Apparemment dépourvue d’émotion faciale au contact de n'importe qui, Seung-Gil Lee s'est contenté de marcher en avant sans se soucier d’aspect « inutile » selon sa vision, maintenir son espace restreint et simple. Ce n’était qu'il ne ressentait rien, au contraire intérieurement les sensations fusent en lui. Il était le fils cadet de parents aisés et deux frères plus âgés qui n'ont jamais essayé d'outrepasser le masque, un frère intelligent versant dans de brillantes études et le second préférant la compagnie de ses amis, sortir et s’amuser quelques fois contraint de le surveiller. Il possédait un charisme, l'allure d'un homme athlétique et communicant. Le père s’avérait un chirurgien respecté, sa belle femme cultivée et captivante l'accompagnait à la plupart de ses conférences médicales. Il a une sœur qui a grandi près de grand-mère et la mère occupée. Le concept de réunion de famille échappait à sa compréhension, ne pouvant s'adapter à cette idée à la résidence Lee.

     

    Ce n’est qu’en côtoyant sa belle-famille que ses mots prirent un sens, son désir de fonder un foyer se développa en fréquentant son petit ami, la meilleure chose qu'il a pu espérer en ce monde. Il caresse les cheveux détachés de l’amant dormant, il a réalisé qu'aimer ce bel oméga le remplissait de chaleur avec leurs jumeaux, ceux qui comptaient le plus pour lui. Il repensait à sa demande en mariage en songeant aux doutes et incertitudes sur la réponse de l'autre parce qu'il n’était pas un alpha, juste un bêta qui a imprégné une personne rayonnante à vie, la décision qu'il ne changerait jamais ! Le jour de la cérémonie ses amis, la belle-famille devint inconsciemment la sienne. À cause de l’absence de lien réel en parlant de ses frères et parents, Sunja, Eun-Mi et les jumeaux Nam étaient les représentants du côté Lee. Et maintenant, l'homme se reposant contre sa poitrine portait son nom et sa marque d’imprégnation, il est légalement le sien. Pitchit se réveille sous le doux toucher de Seung-Gil.

     

    Pitchit : Bonjour thirak

    Seung-Gil : Bonjour mon aimé,  bien dormi ? 

    Pitchit : Oui et toi Seung ? 

    Seung-Gil embrasse ses lèvres : Je suis,  te regarder le matin est mon plaisir. 

    Pitchit rit : Tu veux dire mes cheveux éparpillés ? Ma mine ensommeillé ? 

    Seung-Gil rit à son tour : Tu es belle Pitchit Chulanont-Lee, la lumière de ma vie.  

    Pitchit taquine : Tu ne me dis rarement des compliments,  peut-être pendant que nous faisons l'amour.  

    Seung-Gil : Je le fais et ne cesserai de te rappeler ta beauté.  

    Pitchit murmure contre les lèvres : Chan rak khun

    Seung-Gil l'embrasse une nouvelle fois : Naneun neoleul salanghae 

    Pitchit murmure : Puisque les enfants dorment encore, rappelle moi nae naiteu naiteu

    Seung-Gil surplombe son mari : Volontiers nae bich. 

     

    Le mari sud-coréen ne manqua pas de remémorer ses paroles auprès d'un homme méritant ce qu'il peut lui offrir ; le soin,  la protection et l'amour indéchiffrable qu'il exprime pleinement dans les moments intimes par ses multiples caresses, baisers et l’intrusion à l’intérieur du sexe secondaire. Il parlait certainement peu en voulant limiter le débit de mots,  on le décrivait inaccessible, mystérieux et distant. Ceci dit,  le thaïlandais saurait surpasser l’obstacle, le lire et cerner. Il s'autorise à se laisser aller à proximité d'eux ; le mari,  les jumeaux et quelques amis ni plus, ni moins. Ses amis reçoivent une attention correcte n'excédant pas celle à sa petite famille. Les deux heures suivant une séance sexuelle agréable,  ils prirent une douche ensemble se nettoyant mutuellement et se préparant à la journée.

     

    Parents ? Un rôle que le brillant avocat comparait à sa situation familiale, père et mère n'accordaient pas un œil particulier à ses activités personnelles hormis les études. Sa grand-mère et soeur ont assisté à ses concours de patinage artistique, de danse contrairement au restant de la famille Lee. Même s'ils daignèrent se déplacer,  aucun ne regarder sa performance.  Il a connu le mari lors d'un tournoi de patinage à Séoul,  tous deux participaient pour représenter leurs pays respectifs à quatorze ans, la nature chaleureuse du patineur transperça son âme, le réchauffait en contemplant sa mouvance fluide,  gracieuse et vivifiante. Il a su qu’à travers leur échange qu'ils garderaient une liaison romantique. À l’institut ils commencent à construire une relation amoureuse solide. Il entendait les gens remettre en question la durée du couple,  qu’un oméga devrait se réunir à un alpha etc. Pitchit regardait au-dessus de la façon de pensée d'ignorant, il détestait les préjugés autour des omégas.

     

    Malgré tout,  il a traversé les mœurs à côté de lui. Toutes ses périodes de chaleur furent passés dans ses bras, cela montrait à quel point la détermination de Pitchit ne vacillerait pas,  ce qui renforça la foi et confiance en soi de le garder. Soulmate ? Il trouva le terme abstrait tel un tableau de peinture, quelque chose de difficile à assimiler jusqu’à qu'une attirance inexplicable le ramène à Pitchit, le puzzle inextricable en son esprit se clarifia. La première fois qu'il lui demanda de devenir son petit ami,  il était un jour pluvieux où ils revinrent de l’épicerie proche de la résidence étudiante rattachée à l’institut,  partenaire de chambre et ami proche.  Seung-Gil a agi instinctivement lorsqu’une vague de chaleur envahit la pièce,  le retenant contre sa poitrine fermement la plupart du temps en première année et quart de la seconde.  Il se souvient du partage physique,  la moindre sensation de gouter au parfum exotique, la peau contre la sienne. Ce même jour le moins grand a voulut porter sa marque à condition qu'il devienne un couple.

     

    Il revient à la réalité en entendant les pas enjoués de Myung-Hee,  elle a le tempérament chaleureux,  de beaux yeux ambrés avec les cheveux noirs lisses et le teint crémeux. Il a choisi ce prénom coréen par rapport à sa joie de vivre,  son petit soleil.  Le deuxième, l’ainé de dix minutes se révéla le contraste,  calme et sympathique possédant un côté introverti comme lui,  sa peau légèrement bronzée se joint du regard gris foncé et la couleur de cheveux bruns très foncée se bouclant aux pointes. Somchai a une ressemblance à son père, il a hérité d'une force intérieure précieuse pensait silencieusement le jeune père. Pitchit le nomma d'un prénom thaï en souhaitant qu’il suit ses inspirations. Il se réchauffe lentement aux individus qui côtoient,  plus à l'aise à proximité de visage familier et prudent à propos d'inconnu.

     

    Myung-Hee souriante : Appa annyeonghaseyo

    Seung-Gil embrasse son front :  Annyeong nae ttal

    Somchai : Swasdī khab

    Seung-Gil embrasse ses cheveux : Annyeong nae adeul. 

    Pitchit termine le petit déjeuner : Swasdī txn yën thirak

    Somchai sourit : Swasdī khun maè 

    Myung-Hee rigole : Annyeong, eomma

    Pitchit rit d’amusement : Mettons-nous à table,  papa va bientôt travailler et maman vous déposez à la garderie avant de me rendre à l'agence.

    Jumeaux : Oui maman,  on verra Luka, Arina et Jackson.

    Pitchit sourit tendrement : Vous jouerez ensemble ma chérie. 

    Seung-Gil parle à sa fille : Je reviendrai à la maison un peu tard,  tu me raconteras ta journée d'accord ?

    Myung-Hee : D’accord papa,  fait attention à toi. 

    Pitchit baise la joue droite de Seung : Ton père se montre prudent quoiqu’il arrive, il a une bonne raison. 

    Seung-Gil baise la main droite de Pitchit : C'est vous ma raison,  je travaille pour vous, ta mère et moi-même. 

    Somchai : Nous savons papa,  nous t'aimons pour te soucier de nous. 

    Seung-Gil sourit largement à son fils : Je pense toujours à vous.

     

    Le brun repensait aux propos du fils,  ils se ressemblent beaucoup physiquement comme au niveau de la personnalité. Néanmoins,  il montrait plus aisément ses émotions contenues à l’instar de leur mère,  il était ravi qu'ils tiennent de la lumière, à lui seul les pièces de leur maison reflètent une ambiance conviviale. Il a maintenu un contact périodique avec sa grand-mère et sœur,  heureux que la dame vit en dehors des autres Lee. Il décida que ces deux femmes et les jumeaux méritaient sa considération. Il ne savait pas comment ses parents prennent le silence ? D’ailleurs,  il se concentre sur ces points importants. Ces frères ? Ils sont relégués pareillement que monsieur et madame Lee,  des membres de la famille qu'on tolère à Noël et le nouvel An. Décidément,  il établit une conclusion à sa réflexion, il ne deviendra pas l’extension d'un chirurgien et sa femme mondaine, ni ses frères aînés ! Il aimait faire l’observation du développement des jumeaux,  Somchai parlait davantage le thaï et Myung-Hee le coréen en comprenant l'autre langue.

     

    Ils jugèrent bénéfiques d’enseigner la langue maternelle aux métis coréeno-thailandais, ainsi chacun grandit en embrassant leur double culture. Il appelle les enfants afin de baiser leurs fronts et souhaiter une journée enrichissante, était-il bon père ? Il faisait le nécessaire au bien-être du cocon Lee, la maison disposée sur deux étages fut décoré par les mains créatives de Pitchit en incluant une touche de lui, l’oméga veillait toujours à inclure sa présence. Bien sûr Sara aida à visualiser l’aménagement d’intérieur, elle figurait une amie vivante à Londres. Elle a essayé de l'attirer vers une potentielle relation en vain, il restait froid aux femmes ennuyeuses. Disons qu’entre une intéressée et l’italienne, il préfère largement l’amitié à Sara Crispino. Le papa s'accroupit sur ses jambes de manière à serrer un garçon et une fille profitant de l'emprise douce. Le duo se retire en recevant un baiser puis confronte l’être aimé souriant. 

     

    Seung-Gil : Tu vas me manquer,  un partenaire américain de Victor sollicite un avocat. 

    Pitchit : Tu traite une affaire juridique pour Victor,  je te sais apte a gérer la situation. Ton cabinet ne t'aurait pas recruter et confier les dossiers de grandes entreprises. 

    Seung-Gil : Victor me donne la migraine parfois,  à me solliciter autant.  

    Pitchit câline contre sa poitrine dessinée : Je me doute néanmoins,  il contribue à ta carrière d’avocat en te permettant de plaider des dossiers majeures et gagner une large clientèle. Je suis fier de toi,  les enfants et moi. 

    Seung-Gil resserre sa prise : Tu parviens a me donner une raison de ne pas ignorer Victor, et toi ?

    Seung-Gil : J'ai rendez-vous pour organiser une réception d'affaire.  Il y a aussi le gala de charité pour les enfants à Victor. Je traite l’ensemble au cas par cas.  

    Seung-Gil baise la tête de cheveu : Naneun neoege nae bich-eul salanghae.  

    Pitchit se détache et baise ses lèvres : Chan rak khun māk kheinpi, ne te mets pas en retard. 

    Seung-Gil reprend les lèvres une dernière fois : Jamais venu à l'esprit,  à ce soir. 

     

    L'avocat se rend au bureau du groupe Nikiforov,  une société proposant des services d'analyse de données a de grandes entreprises,  elle octroie plusieurs solutions et conseils de support technique à sa clientèle principalement en suivant l'objectif de venir en aide aux entreprises ; vendre,  transformer et former une série de solutions possibles lorsqu'une rencontre un événement peu favorable ou en perte de vitesse. Elle offre un appui informatique et analytique allant de l'expertise de la base de données au fonctionnement interne de compagnie. Il soupire quelques fois du président extravagant,  expérimenté en ce qui concerne la gestion d’entreprise… Éperdument épris de Yuuri Katsuki-Nikiforov,  le coordinateur d'une grande garderie de la ville où ses précieux enfants vont la partie du jour. Il appréciait la bienveillance de l’oméga japonais se demandant par quel miracle contenait-il le russe ? Un mystère complet qui ne va pas éclaircir pour la tranquillité d'esprit. Quiconque s'y risque connaîtra un début de migraine assuré. Il inspire et expire en garant la voiture,  il se compose en sortant sans omettre l’énergie du trentenaire à la chevelure argentée. 

     

     

    Localisation : Bâtiment du Groupe Nikiforov,  centre-ville de Los Angeles. 

     

    Christopher arrive au même moment : Bonjour Seung-Gil

    Seung-Gil stoïque : Bonjour Christopher,  tu n'arrive pas en avance. 

    Christopher : Luka m'a retardé. 

    Seung-Gil : Teruki ne l’emmène pas à la garderie ?

    Christopher soupire : Normalement il le fait mais,  il a suggéré que je m’y colle grâce à l'insistance du petit.  Il avait un cours de composition tôt.  

    Seung-Gil hoche la tête : Je vois,  sais-tu où est Victor ?

    Christopher : Il m'a prévenu qu'il serait au bureau,  je crois surtout que Yuuri l'a poussé a cesser de le câliner et partir travailler. 

    Seung-Gil : Je ne me pose plus la questionm d'un couple pareil, as-tu une idée du client ?

    Christopher pensif : Victor m'a expliqué un partenaire du groupe Nikiforov,  j'ai pu rassemblé un minimum d’information durant notre rendez-vous au restaurant la semaine dernière. 

    Seung-Gil : Que peux-tu dire ? 

    Christopher : Le client est le président d'une compagnie financière américaine qui a récemment obtenu un partenariat avec une société coréenne se situant à Séoul, le représentant assistera à la conversation.  Ivan me semble mieux informé en étant le chef du département financier. 

    Seung-Gil : Je comprends merci. 

    Christopher : Tu viens de Corée du Sud ?

    Seung-Gil répond monotone : Je n'y suis plus retourné. 

    Christopher : On peut supposer une intention de mettre à l'aise le représentant coréen, tu apporte une valeur juridique au groupe. 

    Seung-Gil : Je suppose allons y

     

    Il n’aimait pas se souvenir de la Corée du Sud. Pourquoi ? Ça le ramènerait à la vaste demeure, la vie de famille plate. Était-il correct ? Forcé d'endurer un climat tolérable, il doutait d'un soupçon d'inquiétude adressée à son égard. Le dernier débat décent remonte à l’échange téléphonique succédant la demande en mariage, il a envisagé une fraction de seconde le revirement d’attitude. Il a eu ut beau par politesse introduire son mariage, ils demeurent ses parents pour le pire. La directrice artistique pensa qu'il choisissait une femme de bonne condition sociale, l'erreur ! Elle a déchanté en apprenant que sa fiancée est un homme, que sa sexualité indiquait la préférence vers un homme oméga. Il ne rentra guère dans les détails pour le raisonnement qu'une mère capable de souligner le statut et la position sociale ne vaut le détour. Il se fichait du père accaparé à ses opérations, l’hôpital passant au-dessus du grand jour du troisième fils. Très bien, on a mis un terme au semblant de lien parent et enfant, fraternel identique à l’exception de la cadette. Sa seule famille se résumait à un petit nombre de gens. 

     

    Victor : Bonjour à tous,  j'ai eu un entretient préalable à notre client. Je vous présente le président de Carmichaels entreprises,  Massimo Welch.  

    Massimo : Je suis enchanté puis-je connaitre vos noms ? 

    Ivan : Je suis Ivan Vikachev,  le chef du département financier. 

    Oliver : Je m’appelle Oliver Cannon,  chef du département d’analyse de donnée. 

    Christopher : Je suis Christopher Giacometti,  directeur de la communication. 

    Massimo : Êtes-vous à moitié italien monsieur Giacometti ?

    Christopher : Mon père est italien et ma mère suissesse,  vous comprenez l’italien ?

    Massimo : Mon père est américain et ma mère italienne,  je parle les deux langues couramment. 

    Georgi : Georgi Popovich,  responsable des relations publiques du groupe Nikiforov. 

    Seung-Gil : Je suis Seung-Gil Lee,  avocat d’entreprise en charge de représenter légalement le groupe Nikiforov ce jour. Tout documents juridiques passeront à ma vérification. 

    Massimo surprit : Vous dites Lee ? Mon partenaire porte ce nom aussi. 

    Victor curieux : Drôle de coïncidence monsieur Welch,  appelons le voulez-vous ? 

    Un grand homme apparait dans la salle de réunion : Bonjour tout le monde, je me nomme Dae-sung Lee,  gestionnaire de compte et représentant de ma société.  

     

    Le coréen une vague de froid traversait son corps, la mauvaise blague voulait qu'au cours de cette réunion précise. Il revoyait le bien bâtit frère aîné,  la fierté parentale pour ne pas enfoncer le clou. Il ignora le flux émotionnel du représentant. 

     

    Dae-sung : Seung-Gil ? C'est bien toi ? 

    Seung-Gil : C’est maitre Lee ! 

    Dae-sung : Je saisis maitre Lee.

    Massimo : Est-ce possible de savoir votre lien exacte ? 

    Dae-sung : Nous sommes frères, je suis l’ainé et lui le cadet… 

    Seung-Gil interrompt froidement : J'ai cessé toute relation à certain membre de ma famille pour raison personnelle,  elles sont tous as fais justifié. 

    Dae-sung : Nous ne partageons pas une entente favorable comme vous le constater,  poursuivons s'il vous plait. 

    Victor acquiesce : Reprenons la teneur du débat. 

    Massimo : Ça me convient messieurs. 

     

    Trois heures d’échanges passèrent mieux en accomplissant sa vocation d’avocat,  défendre des cas relatifs aux sociétés plaisait à l’homme relisant et élaborant un nouveau rendez-vous pour finaliser les termes du contrat.  Il confrontait les hommes d'affaires,  dirigeants d’entreprises variées etc. Il s’excusa poliment à la fin en pensant à s’aérer, il se retrouva à écarter du frère agaçant à prétendre s’inquiéter. Quand nous parlons du loup,  Dae-Sung a saisi le fossé au gré des années,  les opportunités de tisser une entente fraternelle manquée à cause de l’incapacité de franchir la barrière infranchissable. S'il avait réagi autrement à l'annonce du mariage de Seung-Gil et l’oméga inconnu, il a mal digéré les paroles de grand-mère lorsqu'elle a expliqué que sa petite-fille, les cousins Nam et elle sont attendue. Le message devint limpide qu'ignorer le frère cadet se retourna contre lui, papa se sentit insulté et maman blessé de la décision. Hae-Il a lâché un soupir de déception. Qu'en est-il de sa réaction ? Il a retenu le regret.  Sunja a pratiquement éduqué Seung-Gil et Eun-Mi,  il aurait dû dépasser la barrière d’appréhension.

     

    Dae-Sun : Pouvons nous discuter Seung-Gil ?

    Seung-Gil : Je n’ai rien a te dire,  je suis maitre Lee pour toi.  

    Dae-Sun : Je suis ton frère aîné,  ta famille saisis-tu ? Tu peux nous écarter de ta cérémonie de mariage,  nous ignorer mais nous restons liés. 

    Seung-Gil : Je ne me répète pas,  mère a entendu ma dernière considération de vous comme ma famille.  J'ai ma propre famille ! 

    Dae-sung : Tu mentionne cet homme oméga que tu as épousé sans jamais nous introduire autour d'une rencontre décente ? C'est ainsi qu'on fonctionne,  le soustraire de notre approbation. 

    Seung-Gil lève un cils : Je ne te dois la moindre explication lorsque tu te préoccupais d'honorer tes parents et ignorer mon existence sauf si tu étais contraint.  Je te suggère de surveiller la manière dont tu parle de mon mari.  

    Dae-sung : Nous recevons le blâme de la réponse de maman,  elle a été blessée et papa insulté d’être exclut du mariage de son fils. Je n'ai pas été le grand frère attentif,  je reçois le message comme Hae-Il.  

    Seung-Gil inexpressif : Je n'ai pas le temps pour ce soi-disant discours fraternel tardif. 

    Dae-sung : Tu peux étudier la possibilité d'une deuxième chance ? Je suis marié avec un fils, notre frère s'est fiancé à son petit ami. Oui,  un homme qu'on a vu et discuté. 

    Seung-Gil froid : Les paroles ont beaucoup de poids,  elles pourraient me faire reconsidérer mon opinion à votre sujet. Toutefois, des mots non suivi d’acte concret n'ont aucune consistance.  Le vécu ne s'oublie pas, la famille que tu me peints voient surtout la position sociale et le potentiel de conclure un mariage décent,  soit ne nuisant nullement à son image.  

    Dae-sung : Seung-Gil… 

    Seung-Gil interrompt : Je me soucie des gens qui m'importent,  vous ne faites pas partie d'eux alors je te pris de m’excuser.  J'ai un rendez-vous en deux heures. 

    Dae-sung : Je vois,  tu nous reproches nos actes et la réaction des parents a accentuer ton ressenti sur nous, quoique tu pense nos parents ont saisit la coupure d'attache, ils supportent tous les jours ton silence.

    Seung-Gil monotone : Je vous souhaite une fin de journée décente monsieur Lee.  

    Dae-sung : De même maitre Lee. 

     

    Le passage silencieux de l’avocat laissa un gout amer,  un aperçu du sentiment d'un frère rejetant un autre sans pouvoir renier son attitude antérieure.   Il se concentra sur ses études universitaires,  la création d'une vie professionnelle et personnelle en négligeant l’ignorance au cadet masculin de la fratrie. Il ne permettrait pas une seconde chance de modifier les dégâts causés,  cette fosse que le représentant juridique ne compte pas rétrécir. Insulter son mari releva la muraille, il a vu la tristesse dissimulée et la colère de soi à travers le regard de leurs parents.  Nous récoltons ce que nous semons, Seung-Gil appliquait le dicton en étant incisif et tranchant. S’il a été ignorant, la conversation à amener une tournure mortelle,  la franchise de l'homme le blessa,  il a ressenti l'impact de poignard aiguisé qui transperce la peau. À l'écart Seung-Gil se composa à nouveau en reculant ce désagréable instant.

     

    Christopher l'interpelle : Seung-Gil, penses-tu être en mesure de réaliser le contrat ce vendredi ?

    Seung-Gil songeur : Je me débrouillerai, je dois apporter les points de la prochaine rencontre au plus tard début de semaine suivante. Cela convient-il ? 

    Massimo : C'est raisonnable maitre Lee,  je vous remercie de l’implication. Êtes-vous marié ? 

    Seung-Gil stoïque : Je le suis et vous ? 

    Massimo : Également nous avons deux fils de deux et presque un an. 

    Seung-Gil : J’ai deux enfants du même âge.  

    Massimo : Je vous félicite votre femme se réjouit,  les jumeaux requiert une certaine poigne. 

    Seung-Gil : Nous nous en sortons bien maintenant,  si vous m'excuser un rendez-vous m'attend. 

    Massimo : Je comprends maitre Lee. 

    Christopher : Pitchit t'a avertit de l’événement pour les enfants ?  

    Seung-Gil se permet un sourire : Ce matin, il m’a m'informé de l’entrevue. Ne laisse pas Nikiforov exagéré ses demandes ! 

    Christopher reconnait la fermeté calme : Bien Seung-Gil. 

    Seung-Gil se rend à sa destination : Bien 

    Massimo : Je me doutais pas qu'il a un mâle oméga pour mari,  ça fait longtemps ? 

    Christopher : Il évite d’étaler sa vie privée mais,  leur histoire dure depuis la seconde année de lycée. Disons qu'on a été surprit de la mise en couple. Ce n'est pas fréquent qu'un oméga choisit un bêta comme compagnon de vie. 

    Massimo comprend : Il a mon respect pour surmonter les mœurs,  j'ai essuyé les murmures en choisissant une femme bêta et non oméga comme le souhaitait grand-père,  l’héritier du patrimoine Carmichaels doit s'accoupler à un partenaire fertile d’après lui.  

    Christopher : J'ai épousé un oméga ainsi je comprend la traversée de Seung-Gil et Pitchit, je vous propose un restaurant,  celui proche du bureau qu'en dites-vous ?

    Massimo : J’accepte ton invitation,  appelle moi Massimo.  

    Christopher souriant : Christopher,  rendons nous à un excellent déjeuner. 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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